témoin ou victime ?
réagissez !
La victime doit être protégée, par une mise à l’abri immédiate en particulier lorsqu’il s’agit de violences intra familiales.
Cela peut vouloir dire quitter le domicile, cela signifie de toute façon alerter les autorités compétentes
- Subir une violence sexuelle produit un choc traumatique pour la victime comme pour le confident.
- Contactez des ami·es, des associations, des services sociaux, médicaux et psychologiques. Vous pourrez obtenir des conseils, des aides, des orientations, des soutiens juridiques, psychologiques, médicaux et sociaux.
- AISPAS soutient et accueille les victimes mineures et majeures sur le moyen et long terme pour des faits récents ou prescrits.
Les violences sexuelles ne sont pas toujours accompagnées de violences physiques mais sont une violence en soi.
Cela n’exclut en aucun cas, le signalement à la justice (police et gendarmerie) qui sera la plupart du temps suivi d’un examen médico-légal à l’hôpital pratiqué par un expert.
Cette démarche est indispensable en particulier lorsque les violences sont récentes.
Quelques ressources :
Ça dérap’
Charte “Espace Protégé
- * AISPAS est une association d’aide aux victimes ouverte à toutes les victimes de violences sexuelles.
- * Cliquez ici pour trouver nos contacts.
Alerte !
Après avoir subi une violence sexuelle, n’hésitez pas à réagir, à en parler à des ami·es, des professionnels ou à une association comme AISPAS.
Surtout, rappelez vous qu’il n’y a ni honte ni culpabilité à être victime : le coupable, c’est toujours l’agresseur et ce, quelles que soient les circonstances.
Parler de l’agression est indispensable pour la victime mais peut aussi aider à prévenir d’autres violences sexuelles. Parler, c’est donc aussi lutter au niveau collectif contre les violences sexuelles et faire preuve de solidarité envers les autres victimes !